Il découvre aussi que la proportion de lumière polarisée n’est pas du tout constante et qu’elle varie inversement au nombre d’albédo, ce qui correspond à une valeur assez faible sur les régions les plus claires, alors qu’elle est comprise entre 120 et 160‰ sur les mers.
De manière générale, il établit que de la nouvelle Lune à la pleine Lune, la polarisation diminue. En moyenne, il observe que la proportion de lumière polarisée atteint un maxima de 66‰ lorsque la Lune croît dans le premier quartier et de 88‰ quand elle décroît au cours du dernier quartier. Il explique cette différence grâce à la surface occupée par les mers dans le dernier quartier ; cette région abrite en effet la mer des Nuées et de la mer des Pluies qui sont les zones les plus sombres que l’on observe. |